Un transat qui se met à la hauteur des grands-parents
Un transat qui se met à la hauteur des grands-parents c’est déjà une révolution, mais en plus s’il se balance c’est encore mieux.
Vos petits-enfants pourront participer à la vie de famille et vous n’aurez plus à vous soucier de votre dos.
Mieux encore, avec ses poignées de transport, vous pouvez déplacer le transat de pièce en pièce.
Il y’a 4 hauteurs de réglage pour passer d’une étape d’observation à une position de repos : avec le Up & Down c’est la garantie pour vos petits-enfants d’avoir une place de choix !
Stokke® Flexi Bath® est une baignoire pliable que vous pourrez utiliser pour tous vos petits-enfants depuis leur naissance et jusqu’à quatre ans. Son design peu encombrant permet une utilisation facile aussi bien à la maison qu’en déplacement si vous devez emmener vos petits-enfants en vadrouille (elle se plie et se range dans un sac de week-end !).
Plus tard, vous la ressortirez pour les parties de pêche à la ligne et les longues journées à patauger dans le jardin !
Mathilde est une PETITE fille dans un GRAND monde, qui vit de grandes aventures. Mais un jour, elle découvre quelqu’un de plus PETIT qu’elle, elle devient GRANDE soeur et vit de grandes aventures avec son petit frère ! .
Un livre adorable et très joliment illustré sur le rôle de la grande soeur à lire au plus vite avec vos petits-enfants !
Appelez-la comme vous voulez (« totoche », « tototte », « tut’ », « suçou », « titi », « teuteute »…) : elle, la tétine, si je pouvais lui offrir un aller simple dans le vide-ordures, je n’hésiterais pas une seule seconde !
Naturellement, je ne le ferai pas. Drame assuré. Nuit blanche garantie. Incident diplomatique en vue. Pourtant, je bous telle un auto-cuiseur dès que je l’aperçois… c’est à dire tout le temps.
Elle est partout: accrochée à la poussette, suspendue au tapis d’éveil, nouée au doudou, clippée au porte-bébé, tapie dans le lit à barreaux et – pire que tout – dans la bouche de mon petit-fils.
Il m’est arrivé de la perdre une fois. Les pharmaciens de mon quartier peuvent en témoigner, eux chez lesquels j’avais débarqué en furie, échevelée et au bord de l’apoplexie, répétant machinalement les deux mots magiques devant le présentoir des horreurs : « silicone, lapin… silicone, lapin… ».
Après six échecs, la septième halte fut la bonne. Auguste, 18 mois, avait instantanément retrouvé le sourire (enfin…celui en plastique), tandis que moi, j’avais l’impression de lui avoir sauvé la vie.
Lucide sur le ridicule de la situation, j’ai ce jour-là pris une grande décision : chez Granny, la tétine serait dans une boîte. Nous sommes allés la choisir ensemble (indispensable !). Quand ce n’est ni l’heure de la sieste, ni celle du dodo, hop ! Dans sa cachette.
C’est son lit à elle, puisque lui comme moi en avons décidé ainsi.
Depuis, elle n’apparaît plus sur les photos. N’obstrue pas le langage. N’étouffe pas les pleurs (que j’ai fini par préférer). Ne pendouille plus sur le body. Elle est bien là où elle est. Et je comprends enfin tout – ou presque ! – ce qu’Auguste me raconte. Il était temps !
PS : Si certains sujets vous tiennent à coeur, si vous avez besoin de conseils sur un ou plusieurs sujets en particulier, écrivez-nous !
Nous avons créé une adresse mail spécialement pour vous, grâce à laquelle vous pouvez nous faire part de vos demandes : courrier@grand-mercredi.com
C’est moi qui ouvre le courrier, alors soyez certain(e) qu’il sera lu avec la plus grande attention ! A bientôt, donc…
Deux trimestres au moins que vous trépignez, la main droite sur le museau d’une peluche immaculée et le pouce gauche sur un flacon de gel anti-bactérien. Le voici : votre petit-enfant, premier d’une longue série ou dernier arrivé, est né ! Vous l’attendiez au tournant ; ses parents aussi. Si la grand-mère parfaite n’existe pas, du moins peut-elle se montrer vraiment utile. Voici comment :
Sans aller jusqu’à espérer un bristol, dîtes-vous que vous ferez bel et bien partie des premières invitées dans la chambre maternelle. Dès lors, nul besoin de rester en embuscade à un pâté de maisons de la maternité, d’adresser messages subliminaux au papa ou SMS impatients à la jeune parturiente, qui – ne vous en déplaise – sont tout à leur félicité nouvelle.
Passées les présentations, dosez juste. Ligne de conduite parfaite = proposer sans s’imposer. Un biberon par-ci, une sortie au square avec les « grands » par-là, une nuit salvatrice, un plein de courses… Il y a mille façons de rendre service. Y compris à distance, par exemple en gardant son portable allumé H24 pour les coups de (baby)-blues et des questions aussi existentielles que « Mais pourquoi il pleure, là ? ».
Ça peut vous sembler dingue mais….3 heures de ménage hebdomadaire pré-payées font parfois plus plaisir qu’un lot de bodies taille 6 mois avec bavoirs assortis. Surtout si la poussière est devenue la meilleure amie du tapis d’éveil.
Chères grand-mères, fortes de ces préceptes, attendez-vous à recevoir le meilleur : la palme de l’efficacité, mais surtout l’éternelle gratitude de votre fille/belle-fille.
Question de calendrier, ma maison se trouve être chaque été le théâtre des « premières fois » d’Auguste.
Premier steak haché-purée et première trempette dans l’océan l’an passé; premiers mots « intelligibles » attendus cette saison.
Très à cheval sur le développement cognitif de ses enfants, ma fille Capucine a voulu qu’un imagier Montessori figure dans quasiment chaque pièce de la maison.
Dans le lot, j’ai quand même glissé celui du Père Castor, un grand classique qui continue de faire ses preuves. A ce que je sache, quelle que soit la méthode, un canard reste un canard et un camion reste un camion !
Mais ce qui fait le plus débat autour des borborygmes d’Auguste, c’est la traduction. « Oh ! Il a dit bateau ! ». « Ah non ! Il a dit gâteau ». « T’es sûre ?… Chloé, viens voir… Qu’est-ce qu’il a dit ton petit-frère là ?… Auguste, mon chéri, dis à Chloé ! »
Un jeu qui peut durer des heures. Un jeu qui dure depuis que je suis devenue grand-mère pour la première fois. Un jeu dont je ne me lasserai jamais, et qui me fera verser une larme quand il dira enfin « Granny ».
Vous vous en rappelez comme si c’était hier. De ce jour où, fière comme Artaban, vous avez pris l’initiative d’être celle qui offrirait à sa petite-fille sa première poupée. Placide mais sûre de vous, franchissant la porte d’un magasin de jouets repéré depuis belle lurette, vous vous êtes dirigée vers ce rayon que vous connaissez par coeur. Un rayon qui fleure bon la vanille, où les bébés sonnent vrai, où le bleu layette rivalise de douceur avec le rose tendre, et où l’on hésite toujours entre les multiples tenues susceptibles de venir compléter une garde-robe irrésistible (pour finalement les prendre toutes).
Vous le savez : la fois prochaine, pour la gâter, le même soin sera apporté au choix du biberon, de la poussette, puis du pot… Elevé à grands renforts de câlins, le poupon deviendra poupée. En plus de la câliner, il faudra la coiffer, la faire toujours plus belle. Oui mais alors…quel cadeau aussi magique et symbolique offrir au cadet qui se présentera ? La question ne se pose plus depuis que Corolle a inventé le doudou. Celui que bébé peut attraper facilement et dans le cou duquel il niche son nez pour se rassurer. Il s’appelle Mon Doudou Corolle et, lui aussi, dure toute la vie
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*Cadeau offert : couverture zeste d’amour CJJ28, valeur unitaire de 10€ sans minimum d’achat – En cas de rupture de stock, un produit de valeur équivalente sera adressé – Code avantage valable 1 seule fois par personne – Code avantage non cumulable avec d’autres codes avantages et opérations en cours – Durée de validité : jusqu’au 30 avril 2016
« Chandail » est devenu « gilet », les biberons se stérilisent et les compotes se boivent en gourde. Vos filles, vos belles-filles, vos fils et vos gendres parfois, ne manquent jamais de vous le rappeler: les temps changent ! Oui, mais tout s’explique. Et si jamais vous vous retrouvez dans ces quelques lignes, faîtes un clin d’œil à vos amies !
1) Avant, on couchait bébé sur le ventre. Aujourd’hui, on le couche à plat dos.
On a décodé pour vous les 3 raisons de ce changement.
– Dans ce sens-là, bébé peut sourire aux anges. Dans l’autre, c’est déjà plus compliqué.
– Vous avez remarqué ? Endormi dans vos bras, le bébé ne se réveille pas lorsque vous le déposez dans son lit…à plat dos, donc !
– Puisqu’on vous dit que c’est « à plat dos », suivre le mouvement est encore le meilleur moyen d’éviter tout débat au-dessus du berceau.
2) Avant, c’était robe de chambre après le bain. Aujourd’hui, tout le monde enfile un poncho.
– La robe de chambre, même à scratches, c’est limite un concours de contorsions. Surtout quand on a 5 petits-enfants de 1 à 6 ans et la purée maison à mouliner.
– Le poncho s’enfile d’un coup, « tout seul comme un grand ».
– Dénicher en boutique une robe de chambre à carreaux qui ne soit ni fluo, ni flanquée d’un super-héros, ni en éponge double-fil, c’est comme vouloir faire la cueillette des champignons en janvier : impossible.
3) Avant, on se ruinait pour un landau rétro façon Kate & William. Aujourd’hui, c’est à celui qui aura la poussette la plus compacte et aérodynamique.
– Les trottoirs ont pris 4 bons centimètres en 40 ans, mais pas forcément les portes des magasins.
– Le landau d’autrefois remporte rarement l’épreuve dite « du bagage à main ».
– Quand on a 7 minutes chrono pour aller de la maison à la crèche, de la crèche chez le boulanger et du boulanger chez sa grand-mère, on roule plus vite avec un bolide 3 roues qu’avec un tank de 5 kilos.
4) Avant, on remerciait sa grand-mère avec une lettre longue comme le bras. Aujourd’hui, un SMS de lilliputien et c’est le Pérou.
– Le carnet d’adresses près du téléphone n’est plus. Le téléphone SERT de carnet d’adresses.
– Le temps de trouver du papier, un stylo plume, une cartouche neuve, l’inspiration, une enveloppe blanche, l’adresse (cf. raison précédente), un timbre, puis une boîte postale…et c’est déjà l’heure des prochaines vacances.
– Vos petits-enfants sont joueurs et vous mettent au défi de déchiffrer : « Bjr GM. jSpR ktuva bi1. CT top ché toi. Merci bcp. Jtm ».
On vous a forcément déjà fait le coup. Un bébé qui s’annonce – que dis-je, une petite graine – et, déjà, on vous voudrait en grand-mère iconique, à califourchon sur une montagne de mohair, prête à en découdre avec le point de riz et la maille rivière. Certaines d’entre vous ne disent pas non et exultent même à l’idée d’extirper de leurs tiroirs des patrons pour brassière taille 1 mois et autres béguins pour lilliputiens frileux. C’est bien. Après tout, cela donne l’occasion de se concentrer sur son futur rôle d’aïeule et les joies infinies qu’il procure (aussi infinies que peut l’être la confection d’une combinaison sans manches pour bébé, d’ailleurs).
D’autres, en revanche, sollicitées à l’envie par telle bru tendance vintage ou jeune mère en devenir, prennent leurs aiguilles à leur cou sitôt prononcé le mot « tricot ». La simple idée de devoir frayer un chemin à une minuscule boutonnière dans cet enchevêtrement de laine vous met les nerfs en pelote. On peut le comprendre et, du même coup, cautionner l’achat à prix d’or d’une couverture en cachemire 40×40 « déjà toute faite » lors de la naissance du divin enfant.
Cela étant – et afin que chacune d’entre vous puisse dormir sur ses deux rangs – laissez-moi vous dire une chose : tricotée main ou emballée par une vendeuse, la layette de votre petit(e) chéri(e) tiendra forcément chaud. C’est en effet la vertu n°1 du 100% amour.
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Entre 1914 et 1918, l’alimentation a représenté le nerf de la guerre. En effet, nourrir des millions d’hommes et ravitailler les troupes a représenté un défi colossal pour les belligérants, car il a fallu une gigantesque organisation tant humaine que matérielle. Dans les armées françaises, on parle de plus de 8 millions d’hommes mobilisés sur les quatre années.
Des rations de soldats aux recettes anti-gaspillage, les collections du musée de la Grande Guerre permettent de mieux comprendre la question cruciale de l’alimentation pendant la guerre. Par exemple, vous pourrez avoir un aperçu de la “tambouille” des soldats : 700 g de pain dur, entre 300 et 500g de viande, 100g de légumes secs et un bol de soupe.
Archéologie : lumière sur les vestiges de la guerre
Dans les esprits, l’archéologie est souvent associée aux dinosaures et à la préhistoire, pourtant elle ne s’arrête pas là ! Dans le contexte de la Grande Guerre aussi, les archéologues ont permis de faire bien des découvertes…
Notamment, ils ont fait resurgir des événements disparus ou inconnus et nous ont renseignés sur les techniques utilisées dans les réseaux de tranchées. De manière générale, l’archéologie est centrale dans la compréhension des années 14-18, puisqu’elle permet de renouveler les connaissances historiques.
Mais surtout, de nous rapprocher au plus près de ce que fut l’expérience combattante de millions d’hommes. Voilà pourquoi le Musée de la Grande Guerre propose cet été des ateliers sur ce thème pour les enfants à partir de 8 ans !
Avec la création d’un livret-jeu découverte “le soldat inconnu du musée” (remis gratuitement à l’entrée), le Musée de la Grande Guerre a sorti une nouvelle offre pédagogique pensée spécialement pour les familles en quête de partage !
Adapté pour tous vos Petits-Enfants (dès l’âge de 8 ans), ce livret vous permet d’arpenter les extérieurs, afin de résoudre les énigmes autour d’un mystérieux soldat, dont on ne connaît pas l’identité, et qui hanterait le parc du musée. Ensemble, tentez de résoudre cette “malédiction”
En famille sur les traces de l’Histoire avec le Musée de la Grande Guerre à Meaux
À Meaux (77), à moins d’une heure de la capitale, se trouve ce Musée qui retrace l’histoire de la Première Guerre Mondiale.
Avec plus de 70 000 objets et 3000 m2 d’exposition, le site est un véritable trésor pédagogique accessible à tous les âges et à tous les membres de la famille. Il offre un parcours pédagogique et propose un espace dédié aux enfants pour s’approprier la vie quotidienne en temps de guerre. Au programme : des jeux pour découvrir la composition des uniformes, les sons de la guerre, un espace vidéo dans lequel les visiteurs se sentent plongés en immersion dans les tranchées…
Tant de choses qui font appel à chacun de nos sens pour une expérience complète !
Chaque année le Musée de la Grande Guerre organise un week-end hors du temps ! L’idée est de passer un moment inoubliable qui vous replonge dans le quotidien des soldats en 1914-10918 : échanges avec plus de 300 reconstituteurs, ces passionnés en tenue d’époque, mises en scène diverses, visites de bivouac ou encore démonstrations de tirs au canon.
Un programme de qualité qui promet d’impressionner les petits comme les grands. En bref, ce week-end est l’événement idéal pour faire une sortie instructive en famille, à seulement 30 minutes en train de Paris le 5 et 6 Septembre.
Au départ du musée de la Grande Guerre, prolongez votre parcours dans les pas des soldats de la Première bataille de la Marne en 1914. En voiture ou à vélo, découvrez cette boucle touristique sur les traces de l’Histoire.
Passez là où ça s’est passé : la Grande Tombe à Chauconin-Neufmontiers, le monument « Notre Date de la Marne » à Barcy, la nécropole française et allemande à Chambry, la découverte de Meaux… !
Le plus ? Faites appel au chatbot Marion pour vous guider, un véritable GSP intéractif qui vous donnera des informations historiques sur les points d’arrêt et points d’intérêt de ce circuit.