Archives des films - Grand-Mercredi

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4 films à regarder avec vos Petits-Enfants un jour de pluie

Le soleil n’est pas au rendez-vous, c’est un fait. Voici une sélection des 4 DVD cultes et indémodables à regarder avec vos petits-enfants les jours de pluie … ou d’ennui !

Vice-Versa

Sacré meilleur film d’animation aux Oscars, « Vice-Versa » fait parler les émotions d’une Petite-Fille de 10 ans, obligée de quitter la campagne pour la ville avec ses parents. Drôle et sensible, ce dessin-animé n’a pas fini d’émouvoir toute la famille.

La Mélodie du Bonheur

Maria, une jeune femme pleine d’esprit quitte le couvent pour devenir la gouvernante des sept enfants du Capitaine Von Trapp. Ce veuf autoritaire dirige la maison d’une main de fer et dès son arrivée, Maria se heurte à l’hostilité des enfants … Un film culte et plein de bonne humeur à voir avec vos petits-enfants !

Sissi / Sissi l’impératrice

Retrouvez  la merveilleuse histoire de Sissi, et Sissi impératrice, un vrai classique des grandes histoires d’amour au cinéma, pour tous les âges… et surtout pour les petites-filles !

Les Aristochats

Comme tous les grands classiques de Disney, ce film ne vieillit pas. Superbe aventure et aussi histoire d’amour, avec une mère célibataire avec trois chatons comme héroïne… Un dessin-animé indémodable à voir avec toute la famille !

Marlène Jobert fêtera bientôt son anniversaire. Voilà une occasion de rendre hommage à l’actrice star qu’elle a été dans les années 1960 et 1970 en revenant sur 5 de ses films. Si vos Petits-Enfants connaissent certainement sa voix à travers les contes qu’elle s’est plu à écrire et reprendre dans une autre carrière, savent-ils qu’elle a été une actrice très en vogue ? 

Un début de carrière artistique difficile pour Marlène Jobert

Entre 1966 et 1989, Marlène Jobert a tourné une trentaine de films pour le grand écran avec les plus grands réalisateurs. Jean-Luc Godard, Claude Lelouch, Claude Chabrol, Maurice Pialat, font, entre autres, partie des hommes qui ont pu la diriger sur scène.

Et pourtant, ce ne fut pas chose facile au début. Saviez-vous qu’en 1962, alors que Marlène Jobert n’était pas encore connue du grand public, elle a eu un très grave accident de voiture qui l’a complètement défigurée ? La chirurgie esthétique lui a littéralement sauvé la face : qui pourrait prétendre que les stigmates de la cicatrice de 12cm qui la balafrait alors sont visibles ?

5 films à voir ou à revoir… avec vos Petits-Enfants ?

Parce qu’il faut bien faire des choix, voici notre sélection de beaux films où l’actrice joue face caméra avec les plus grands du genre, principalement durant la décennie 1970. Elle met ensuite un frein à sa carrière pour s’occuper de ses jumelles, nées en 1980. On verra donc moins souvent Marlène Jobert à l’affiche, jusqu’à ce qu’elle se lance dans un autre genre de carrière à la fin des années 1980.

1- Le voleurréal. Louis Malle, 1967. Rôle joué par Marlène Jobert : Broussaille.

Élevé et dépouillé de sa fortune par son oncle, Georges Randal (Jean-Paul Belmondo) s’est ensuite vu refuser la main de sa cousine, Charlotte (Geneviève Bujold), promise à un plus riche parti. Pour se venger, il cambriole les parents du fiancé. C’est ainsi qu’il commence une brillante carrière dans le milieu, devenant un as de la cambriole.

2- Le passager de la pluie, réal. René Clément, 1970. Rôle joué par Marlène Jobert : Mélancolie Mau

Dans la banlieue de Marseille, Mélancolie Mau, surnommée « Mellie », s’ennuie dans sa grande maison isolée en bord de mer en l’absence de son mari, pilote de ligne. Lorsqu’un inconnu pénètre chez elle un soir et la viole, la jeune femme, terrorisée, parvient à abattre son agresseur avant de se débarrasser du cadavre. Le lendemain, elle fait connaissance du mystérieux Harry Dobbs (Charles Bronson), un Américain qui semble connaître son secret…

3- Nous ne vieillirons pas ensemble, réal. Maurice Pialat, 1972. Rôle joué par Marlène Jobert : Catherine

Jean (Jean Yanne), la quarantaine, est un éternel enfant doublé d’un cinéaste raté. Marié depuis de nombreuses années, il ne peut se résoudre à quitter sa femme pour sa jeune maitresse qu’il côtoie depuis six ans : Catherine. Pourtant amoureux de cette dernière, son comportement et leurs violentes disputes les éloignent un peu plus chaque jour. Jusqu’à ce que Catherine lui annonce son mariage avec un autre homme. Jean, impuissant face à cette situation, n’a d’autre choix que de la voir sortir de sa vie.

4- Pas si méchant que ça, réal. Claude Goretta, 1974. Rôle joué par Marlène Jobert : Nelly.

Pierre (Gérard Depardieu) est artisan ébéniste dans la petite fabrique de meubles de son père. Ce dernier, victime d’un malaise cardiaque, doit cesser ses activités. Le jeune homme reprend donc l’affaire familiale et découvre que l’entreprise est au bord de la faillite. Pour payer les ouvriers et tenter de sauver l’ébénisterie, Pierre décide de braquer des banques et autres bureaux de poste. Nelly devient sa complice suite à un holdup…

5- Folle à tuer, réal. Yves Boisset, 1975. Rôle joué par Marlène Jobert : Julie Bellanger

Julie Ballenger a séjourné pendant cinq ans en clinique psychiatrique. Guérie, elle est placée comme gouvernante du petit Thomas Mostri (Thomas Waintrop), héritier d’une immense fortune gérée par son oncle, un riche industriel de Neuilly. Au cours d’une promenade ils sont enlevés par un tueur à gages. Les kidnappeurs font écrire à Julie une lettre qui la désigne comme coupable du rapt. Julie parvient à fuir avec l’enfant. Une traque haletante commence.

Une récompense pour sa belle carrière d’actrice

Celle qui a refusé un rôle dans le film Huit femmes, et qui n’est plus passée que très occasionnellement dans des téléfilms, a tout de même reçu un César d’honneur en 2007, récompense remise par son ami Claude Brasseur. Comme quoi, le septième art ne l’a pas du tout oubliée !

Si elles ne sont pas toujours les principales protagonistes d’un film, les Grand-Mères peuvent souvent jouer un second rôle marquant. Attachantes, touchantes, drôles mais aussi méchamment cyniques et odieuses, les Grand-Mères de cinéma ont plusieurs visages. Certaines nous ont fait rêver, d’autres moins… Elles sont maintenant célèbres et ont crevé l’écran : voici les 10 Grand-Mères qui nous ont le plus marqués à travers des films cultes.

1- Poupette, l’Arrière-Grand-Mère moderne

Interprétée par Denise Grey, Poupette est de loin une des Grand-Mères les plus célèbres du grand écran. Arrière-Grand-Mère de Vic, rôle principal du film La Boum de Claude Pinoteau (1980), elle se rend très disponible pour accompagner son Arrière-Petite-Fille dans sa vie d’adolescente. Poupette, c’est la Grand-Mère complice, joyeuse et moderne que tout le monde voudrait connaître. Si l’actrice n’est plus de ce monde depuis 1996, on ne l’oublie pas, et c’est toujours un réel plaisir de la (re)voir jouer le rôle qu’elle a, et de loin, le mieux tenu.

Poupette La boum, la Grand-Mère la plus célèbre dans grand écran

Grand-Mère film Première Etoile. On l'aime sur petit comme sur grand écran.

2- Bonne-Maman, Grand-Mère des Antilles au cinéma

Pas de doute, Firmine Richard est plus à l’aise à l’écran que sur la neige. Tout du moins dans le film La première étoile de Lucien Jean-Baptiste (2009). Mais, Marie-Thérèse Louise-Joseph alias Bonne-Maman est prête à tout pour sauver le couple de son fils. Lui qui ne tient jamais parole a promis d’emmener toute sa famille en vacances au ski. Et, s’il ne tient pas promesse, sa femme a juré de le quitter…

3- Rose Dawson, Grand-Mère survivante

Le film aux 11 Oscars réalisé par James Cameron n’a laissé personne indifférent lors de sa sortie en 1997. Gloria Stewart y incarne Rose Dawson des années après le drame qui s’est joué. Ses larmes nous émeuvent encore, et on prend toujours plaisir à revoir ce célèbre film culte qu’est Titanic.

Gloria Stewart - titanic. Son histoire adaptée pour le grand écran l'a rendue célèbre.

Mémé, super Grand-Mère, célèbre à l'écran grâce à L'âge de glace

4- Mémé, la Grand-Mère zinzin et touchante

Les volets 4 et 5 de L’Âge de glace (sortis respectivement en 2012 et 2016) mettent à l’honneur la Grand-Mère de Sid, le paresseux un peu foufou. Il n’y a pas à dire : ce dernier tient bien de son aïeule. Sauf que cette dernière a plus d’un tour dans son dentier (quand elle l’a !) et permet à la bande d’amis de sortir de bien des situations périlleuses. On n’en dit pas plus, mais il est évident que Mémé, initialement abandonnée de tous, retourne malgré elle la situation à son avantage…

5- Margueritte, celle par qui les peurs sont vaincues

Dans La Tête en friche (Jean Becker, 2010), Gisèle Casadesus incarne une très vieille femme de 95 ans, Margueritte Vandeveld. La lecture et les voyages sont ses deux passions. Progressivement, elle va apprivoiser Germain (interprété par Gérard Depardieu). Au gré de leurs rencontres dans un parc, elle va lui donner le goût de la lecture, lui qui est pourtant presque illettré. Beaucoup de pudeur et d’amitié se dégagent de ce duo qui n’avait a priori rien en commun. Quand la vieillesse et la maladie n’empêchent pas l’espoir et le dépassement de soi.

La tête en friche - Margueritte

Lady Violet Crawley célèbre Grand-Mère douairière

6- Grandma, comtesse douairière de Grantham

Maggie Smith a le port de tête élégant et le rictus suffisant qu’il faut pour camper un des personnages – si ce n’est LE personnage – principaux de la série culte et du film Downton Abbey. La Grand-Mère de Mary, Edith et Sybil ne s’en laisse pas compter et a la répartie cinglante quand elle le juge nécessaire. Celle qui déclare que « C’est le rôle des Grand-Mères que de se mêler de tout » n’a, de ce fait, ni sa langue, ni ses yeux dans sa poche. Elle sait se montrer dure, en bonne aristocrate de l’ère victorienne finissante, mais aussi très tendre avec ceux qu’elle aime. Bref, Violet Crawley représente une des Grand-Mères les mieux jouées à l’écran de ces dernières années.

7- Mamy, la Grand-Mère au terrible secret

Quel(s) secret(s) Mamy cache-t-elle ? Quels secrets chaque femmes présente sur la scène de crime cache-t-elle ? Nul doute que l’adaptation cinématographique faite par François Ozon en 2002 de la pièce de théâtre Huit femmes de Robert Thomas, permet d’entrer dans les replis les plus sombres d’âmes parfois tourmentées. Danielle Darrieux est donc cette femme en violet qui prétend ne plus savoir faire usage de ses jambes. Si au premier abord elle semble très sympathique, plus on s’enfonce dans l’histoire, et plus son personnage est noir, entre dissimulation avarice et… (mais, chut ! n’en disons pas plus pour celles d’entre vous qui ne connaîtraient pas encore le film).

Mamy, Grand-Mère terrible dans le film Huit femmes

Paulette, célèbre Grand-Mère du grand écran

8- Paulette, une Grand-Mère rendue célèbre par un commerce spécial

Isolement, aigreur, voire même méchanceté… Paulette n’a pas grand-chose pour elle. Jusqu’au jour où elle est contrainte, pour échapper aux huissiers, d’entrer dans un drôle de trafic. L’ancienne pâtissière, jouée par Bernadette Lafont, devient très vite quelqu’un d’intéressant dans le quartier et même au-delà. Cette comédie de Jérôme Enrico diffusée dans les salles en 2013, portant le nom de la vielle femme, s’inspire d’une histoire vraie.

9- Grand-Mère Fa, l’ancêtre avertie

Si pour elle, le mariage de Mulan est une idée fixe, Grand-Mère Fa comprend vite que sa Petite-Fille a pris la place de son père pour partir au combat et ainsi défendre l’honneur de la famille. Ce personnage secondaire de Mulan, film d’animation des studios Disney paru en 1998, confie alors sa Petite-Fille à ses ancêtres en leur demandant, dans une prière, de bien vouloir protéger Mulan.

grand-mère Mulan

Tatie Danielle, la pire des vieilles dames

10- Elle n’est pas Grand-Mère, heureusement, mais elle est célèbre au cinéma

Nous ne pouvions pas terminer sans parler de la fameuse, détestée et détestable Tatie Danielle. La comédie du même nom, datant de 1990, réalisée par Etienne Chatiliez, met en scène une affreuse bonne femme de 82 ans qui, par une succession de coups du sort, va aller empoisonner la vie de ses Petits-Neveux. Si, au début, ils imaginent trouver en elle la Grand-Mère qu’ils n’ont jamais connue, ils déchantent vite. Tsilla Chelton est une Tatie Danielle très convaincante qu’on ne voudrait croiser sous aucun prétexte !

Qu’elles soient Grand-Mères à l’écran ou pas, elles le sont aussi dans leur vie personnelle. De Brigitte Bardot à Fanny Ardant, en passant par la Reine des Grand-Mères, Elizabeth II, ne ratez rien du sens de la grand-parentalité de ces célébrités et autres stars. Par ailleurs, chacune d’elle a un petit nom donné par ses Petits-Enfants. Quels surnoms affectionnez-vous le plus pour vous faire appeler par vos propres Petits-Enfants ?

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