Au début, je n’y ai pas cru. Comment ça « un livre génial » ? D’où une « Grand-Mère fabuleuse » ?
Au bureau, toute l’équipe de Grand-Mercredi frôlait l’extase. Allons bon ! Jamais vu ça. J’ai voulu vérifier par moi-même. Rétive comme un paon, curieuse comme une pie, je me suis approchée de cet album couleur vermillon envoyé de Belgique. Joli, c’est vrai. Bon : très joli, j’avoue. Sublime, allez !
Et à l’intérieur, alors là… le pompon !
Pour ses enfants et petits-enfants, celle que tous appellent « Bonnie » a elle-même écrit l’Abécédaire de sa maison de famille. A comme arbre (généalogique, bien sûr), H comme hall (et ses cadres de guingois), O comme orage (et le petit-fils qu’on rassure dans ses bras), J comme jeux (de fantômes) et même M comme mite (de placards). Dessins aussi efficaces que la plume, du genre drôles et raffinés à la fois.
Je me suis rendue à l’évidence : j’étais battue à plate couture. « Même MOI je n’aurais pas eu cette idée ! », lançai-je à la cantonade. Envieuse ? Non. Cette Grand-Mère parle trop bien de ceux qu’elle aime pour que je la jalouse. « Entrer dans une maison de famille, écrit-elle, c’est avoir accès aux secrets de l’âme familiale. C’est un lieu magique, un lieu d’énergie, un lieu de rassemblement et de ressourcement. Un lieu où, les jours où le vent souffle trop fort et menace de faire perdre l’équilibre, il y a moyen de se mettre à l’abri du monde et de ses colères ».
Ce n’est pas moi qui dirait le contraire. Alors Bonnie…respect !
1. Elle fredonne déjà des berceuses dans sa voiture.
2. Il lui arrive de passer plus d’une heure à observer un body dans une boutique.
3. Elle n’a plus qu’une obsession : trouver son petit nom de grand-mère.
5. Elle lit un mode d’emploi traduit d’un pédopsychiatre australien sur l’art de devenir grand-mère avant l’heure.
6. Elle a ressorti tous ses albums photos, prête à comparer les ressemblances.
7. Son amie Nicole lui a évidemment tiré le pendule.
8. Elle regarde le film « Le Prénom » avant chaque dîner de famille.
9. Son pharmacien, son boucher et son opticien attendent autant qu’elle l’arrivée du promis.
10. Elle est déjà inscrite à Grand-Mercredi, le premier site dédié aux grand-mères
Je n’irai pas par quatre chemins : celle qui vous écrit aujourd’hui, Mesdames, est une survivante.
En l’espace d’une semaine, j’ai bravé tous les obstacles. Des faciles (gâter, puis réjouir, tous mes enfants et petits-enfants sans exception), des périlleux (farcir de cèpes une tourte aux pommes de terre pour douze) et mêmes des insurmontables (trouver à la dernière minute des piles plates LR34 de 1,5 volt pour mon lumignon de Noël en bout de course).
Côté diététique, après un chapon, deux pintades, quatre bûches et un kilo de pralinés, je suis à deux doigts de me convertir au sans sucre et sans gluten; tout juste si je pense pouvoir regarder une huître dans les yeux le 31 décembre.
Vous me direz : je l’ai bien cherché.
Deux mois que je battais le rappel pour avoir tout le monde autour de moi, de ma fille Capucine, hyperactive dans l’âme, à son globe-trotter de mari, en passant par Alice et ses états d’âme, mon fils Bertrand et ma bru qui « aime tout sauf le sucré-salé », et bien sûr Paul, ma « presque moitié » qui – en dépit de son habitude à se terrer tel un renard solitaire – a pris un malin plaisir à déboucher nos meilleures bouteilles pour tout le monde.
Après avoir fait le plein de calories et d’amour, je me repasse donc en boucle les plus jolis moments de ces festivités entamées bien en amont – le cocktail chez maman le 22, le goûter chez la nounou des petits le 23… – et rit encore toute seule des dizaine de selfies qu’Adèle et Boris ont tenté de me faire faire entre deux gougères au fromage. A se demander comment ils auraient occupé leur soirée si je n’avais pas été là pour les distraire…!
Dernière ligne droite avant le Nouvel An, donc.
Entre la soirée à thème « cheese, wine & scoubidou, bidou » chez mes fantaisistes amis libraires les Vernet, et le karaoké géant auquel les voisins du 4ème convient tout l’immeuble (à en juger par le mot scotché dans l’ascenseur), mon coeur balance.
Si vous n’y voyez pas d’inconvénient, je vous dirai ça en 2017.
« Réveillonement » vôtre,
1) Même quand vos petits-enfants sont loin, vous vivez à leur rythme : Est-ce qu’il fera beau ce week-end ? Même si vous n’avez pas prévu de les voir, vous espérez que le soleil soit au rendez-vous et qu’ils puissent profiter d’activités en plein air.
2) Vous continuez à penser à eux et même lorsque vous faites vos courses aux supermarchés : Impossible pour vous de ne pas faire un détour par le rayon des fournitures scolaires… Un cartable rose ou un ballon de football vous fera immédiatement penser à vos petits-enfants.
3) Vous comptez les jours qui vous séparent des prochaines vacances scolaires : avouons-le, vous aussi vous comptez le nombre de dodos qui vous séparent de la prochaine visite de vos petits-enfants.
4) Vous regardez le monde changer et les mauvaises nouvelles qui parfois l’accompagnent vous inquiètent… Dans quel monde vivront vos petits-enfants ?
5) Vous aimeriez qu’ils ne grandissent pas trop vite… et à la fois vous êtes pressée de voir ce qu’ils deviendront. Vous êtes persuadée qu’ils sont uniques et qu’ils sauront construire une vie à la hauteur de vos plus folles attentes.
Deux trimestres au moins que vous trépignez, la main droite sur le museau d’une peluche immaculée et le pouce gauche sur un flacon de gel anti-bactérien. Le voici : votre petit-enfant, premier d’une longue série ou dernier arrivé, est né ! Vous l’attendiez au tournant ; ses parents aussi. Si la grand-mère parfaite n’existe pas, du moins peut-elle se montrer vraiment utile. Voici comment :
Sans aller jusqu’à espérer un bristol, dîtes-vous que vous ferez bel et bien partie des premières invitées dans la chambre maternelle. Dès lors, nul besoin de rester en embuscade à un pâté de maisons de la maternité, d’adresser messages subliminaux au papa ou SMS impatients à la jeune parturiente, qui – ne vous en déplaise – sont tout à leur félicité nouvelle.
Passées les présentations, dosez juste. Ligne de conduite parfaite = proposer sans s’imposer. Un biberon par-ci, une sortie au square avec les « grands » par-là, une nuit salvatrice, un plein de courses… Il y a mille façons de rendre service. Y compris à distance, par exemple en gardant son portable allumé H24 pour les coups de (baby)-blues et des questions aussi existentielles que « Mais pourquoi il pleure, là ? ».
Ça peut vous sembler dingue mais….3 heures de ménage hebdomadaire pré-payées font parfois plus plaisir qu’un lot de bodies taille 6 mois avec bavoirs assortis. Surtout si la poussière est devenue la meilleure amie du tapis d’éveil.
Chères grand-mères, fortes de ces préceptes, attendez-vous à recevoir le meilleur : la palme de l’efficacité, mais surtout l’éternelle gratitude de votre fille/belle-fille.
Confidence pour confidence, je n’ai pas pour habitude de me comparer aux autres. Encore moins de comparer les autres entre eux (à commencer par mes enfants – ils détestent ça ! – et mes petits-enfants – drame garanti !).
Mais bon…il m’arrive quand même d’avoir envie de savoir si je suis « in », comme ils disent.
Comprendre : une VRAIE grand-mère.
Je me suis donc amusée à cocher les cases de ce sondage très sérieux, qui dit que :
– la France compte 7 millions de Grand-Mères (ouf ! J’en suis !)
– on devient Grand-Mère à 52 ans environ (à trois ans près, c’est moi)
– …et Grand-Père à 56 ans (ça lui a fait drôle, mais c’est vrai)
– chaque Grand-Mère a 3 petits-enfants en moyenne (là, j’explose les scores. 5 à mon actif)
– plus d’une Grand-Mère sur deux vit dans la même ville que ses petits-enfants (heureusement pour les parents ! Jusqu’au jour où tout ce petit monde déménagera à Singapour…)
– 40% d’entre elles les prennent sous leur aile le mercredi après-midi (si je n’ai ni gym, ni réunion de copropriété, ni migraine, la réponse est « oui »)
– …et 60% des Grand-Mères qui travaillent prennent le temps de déjeuner régulièrement avec les plus grands (quand ils sont libres seulement, je précise).
– 1 Grand-Mère sur deux s’en occupe au moins 2 semaines par an pendant les vacances (bon…des fois moins, des fois plus… On dira que ça dépend des ponts !)
– le plus beau cadeau qu’une Grand-Mère ait fait à ses petits-enfants est un voyage (pas aussi loin que ce que j’aurais voulu, mais c’est un début !)
– le moment le plus marquant de leur vie de Grand-Mère fut…la naissance du n°1 (comment l’oublier ?)Grosso modo, donc, je suis dans la moyenne. Mais ne nous leurrons pas, chères lectrices : d’ici un an, tout aura changé. Alors autant se dire, comme en cuisine, que ce qui compte quand on est grand-mère, ce n’est pas la quantité…mais bien la qualité !
A vous, je peux le dire. Trois jours, déjà, que seaux, doudous et mini-maillots ont déserté la maison…et tout me semble dépeuplé. J’ai passé la piscine gonflable au Kärcher, fait l’inventaire des bricoles oubliées par les uns et les autres, refait les piles de draps dans l’autre sens et remisé au placard la vaisselle incassable. Vous voyez le tableau ? Las !
Pour ne pas m’appesantir sur mon sort de Grand-Mère en phase de crise post-estivale, j’ai appelé Liliane Holstein, psychanalyste spécialiste de la famille. Elle est, depuis toujours, mon oreille, et planche sur un nouveau livre dont le sujet est « le miracle des couples heureux » (parution à l’automne). Vaste programme !
Je vous fais cadeau ici de ses précieux conseils pour passer le cap de septembre. Par ici le recadrage…!
Depuis que tout le monde a regagné ses pénates, j’ai les paroles de « Et maintenant » de Gilbert Bécaud qui me trottent en boucle dans la tête. C’est normal ?
Normalement, il ne doit pas y avoir de « grand vide » à gérer.
Ce qu’il faut vous dire, c’est : quand les enfants et les petits-enfants sont là, c’est bien. Et quand ils partent, c’est bien aussi. Cette absence, ce départ, va forcément apporter quelques chose de bon à chacun. C’est la raison pour laquelle il est très important de cultiver cette philosophie de contentement de chaque situation.
Etre plus au calme, se concentrer sur soi, lire tranquillement, penser, avoir le cerveau qui se repose : tout ceci est bénéfique. Et puis…c’est aussi le moment de se retrouver en tant que couple. Car, quand tout le monde est là, finalement, on n’a pas trop de temps pour l’autre et l’on se parle rarement si ce n’est pour donner telle indication ou directive.
Soit ! Et si je proposais au Grand-Père de fabriquer à quatre mains un album-photos de nos vacances en famille ?
Mieux vaut garder ça pour l’hiver…! L’heure est plus aux retrouvailles, aux moments en tête-à-tête.
Je vous conseille d’en profiter pour sortir en amoureux, déjeuner en terrasse, vous regarder vraiment, les yeux dans les yeux. Et de montrer que vous êtes contente de passer du temps seule avec lui plutôt que de vous lamenter avec nostalgie.
C’est le moment idéal pour sortir de son rôle de grand-parent et redevenir un homme/une femme. Se rapprocher physiquement de celui qu’on aime, ne pas le considérer comme un meuble mais comme un être qui évolue constamment, nécessite de prendre le temps.
Donc, si je résume : « Adieu la Grand-Mère, bonjour l’épouse modèle » ?
Bonjour « la femme amoureuse », ce n’est pas pareil. Un peu comme si vous faisiez un état des lieux après le départ de tout le monde.
Quant aux Grand-Mères qui vivent seules, il faut voir cette transition comme l’occasion d’un rebond salvateur et bénéfique. On passe du plein au vide ? Alors c’est le moment de remplir autrement.
Pourquoi pas en faisant un petit voyage avec un groupe de gens sympas, en reprenant une activité sportive, en sortant davantage… Même avec peu, il est possible d’être heureuse: que ce soit en buvant un thé dans son petit salon dans le Berry ou à la terrasse du Flore à Paris !
Bon, et une fois que j’ai fait tout ça, ai-je quand même le droit de dire à mes petits-enfants qu’ils me manquent ?
Cela risquerait de les culpabiliser, eux comme leurs parents d’ailleurs. Tous reprennent leur vie et c’est normal; vous avez eu la chance de les choyer, de leur apporter de la douceur, des rigolades… Mais, désormais, chacun retrouve son rythme et c’est dans l’ordre des choses.
N’oubliez pas, en revanche, que quand les Grands-Parents sont heureux parce qu’ils ont développé une relation solide de tendresse et de douceur, les enfants et les petits-enfants le voient! Cette harmonie, cette image du bien-être est l’un des éléments fondamentaux qui laisse un goût de bonheur aux vacances. Autant y travailler pour l’été prochain !
En ce qui me concerne, me voici sur les rails…! A vous de jouer, maintenant ! Ramassage des copies dans un mois !
Quel que soit le nombre de petits-enfants, Grand-Mère je suis, Grand-Mère je reste.
Pour le premier été de Zoé, 3 mois, dans notre maison de vacances, j’ai donc ressorti l’artillerie lourde: transat molletonné descendu du grenier, tour de lit lavé et re-lavé, moustiquaire, écoute-bébé et micro-parasol prêts à l’emploi. Tout, en somme, pour que ma fille Capucine dispose d’une logistique au top pour sa petite dernière !
Il faut donc m’imaginer, le jour de leur arrivée, en train de lui faire faire non sans fierté le tour de la propriétaire, avec un port de tête à mi-chemin entre celui de la mère poule et la nonchalance d’une star cannoise. J’ai vite déchanté…
Le mobile musical ? Un vrai parasite du sommeil, m’avoue la jeune parturiente. Le baby-phone ? Plus besoin, « y’a une super appli pour ça maintenant ». Le chauffe-biberon ? Officiellement inutile. Le tapis d’éveil qui fait pouic-pouic ? Pourquoi pas, mais « sinon une couette c’est bien aussi ».
Bien ! Pour éviter tout psychodrame, j’ai mis ça sur le compte de sa fatigue post-partum et des effets secondaires d’un baby blues mal digéré.
Après tout, qui me dit qu’à trop vouloir bien faire, je n’en ai pas fait trop ? On ne se refait pas !
Et Sybille ? Vous ai-je déjà parlé de ma grande amie Sybille ? 63 ans, célibataire pas toujours assumée mais la main sur le coeur, attendue mardi prochain chez moi et dans votre boîte mail.
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Entre 1914 et 1918, l’alimentation a représenté le nerf de la guerre. En effet, nourrir des millions d’hommes et ravitailler les troupes a représenté un défi colossal pour les belligérants, car il a fallu une gigantesque organisation tant humaine que matérielle. Dans les armées françaises, on parle de plus de 8 millions d’hommes mobilisés sur les quatre années.
Des rations de soldats aux recettes anti-gaspillage, les collections du musée de la Grande Guerre permettent de mieux comprendre la question cruciale de l’alimentation pendant la guerre. Par exemple, vous pourrez avoir un aperçu de la “tambouille” des soldats : 700 g de pain dur, entre 300 et 500g de viande, 100g de légumes secs et un bol de soupe.
Archéologie : lumière sur les vestiges de la guerre
Dans les esprits, l’archéologie est souvent associée aux dinosaures et à la préhistoire, pourtant elle ne s’arrête pas là ! Dans le contexte de la Grande Guerre aussi, les archéologues ont permis de faire bien des découvertes…
Notamment, ils ont fait resurgir des événements disparus ou inconnus et nous ont renseignés sur les techniques utilisées dans les réseaux de tranchées. De manière générale, l’archéologie est centrale dans la compréhension des années 14-18, puisqu’elle permet de renouveler les connaissances historiques.
Mais surtout, de nous rapprocher au plus près de ce que fut l’expérience combattante de millions d’hommes. Voilà pourquoi le Musée de la Grande Guerre propose cet été des ateliers sur ce thème pour les enfants à partir de 8 ans !
Avec la création d’un livret-jeu découverte “le soldat inconnu du musée” (remis gratuitement à l’entrée), le Musée de la Grande Guerre a sorti une nouvelle offre pédagogique pensée spécialement pour les familles en quête de partage !
Adapté pour tous vos Petits-Enfants (dès l’âge de 8 ans), ce livret vous permet d’arpenter les extérieurs, afin de résoudre les énigmes autour d’un mystérieux soldat, dont on ne connaît pas l’identité, et qui hanterait le parc du musée. Ensemble, tentez de résoudre cette “malédiction”
En famille sur les traces de l’Histoire avec le Musée de la Grande Guerre à Meaux
À Meaux (77), à moins d’une heure de la capitale, se trouve ce Musée qui retrace l’histoire de la Première Guerre Mondiale.
Avec plus de 70 000 objets et 3000 m2 d’exposition, le site est un véritable trésor pédagogique accessible à tous les âges et à tous les membres de la famille. Il offre un parcours pédagogique et propose un espace dédié aux enfants pour s’approprier la vie quotidienne en temps de guerre. Au programme : des jeux pour découvrir la composition des uniformes, les sons de la guerre, un espace vidéo dans lequel les visiteurs se sentent plongés en immersion dans les tranchées…
Tant de choses qui font appel à chacun de nos sens pour une expérience complète !
Chaque année le Musée de la Grande Guerre organise un week-end hors du temps ! L’idée est de passer un moment inoubliable qui vous replonge dans le quotidien des soldats en 1914-10918 : échanges avec plus de 300 reconstituteurs, ces passionnés en tenue d’époque, mises en scène diverses, visites de bivouac ou encore démonstrations de tirs au canon.
Un programme de qualité qui promet d’impressionner les petits comme les grands. En bref, ce week-end est l’événement idéal pour faire une sortie instructive en famille, à seulement 30 minutes en train de Paris le 5 et 6 Septembre.
Au départ du musée de la Grande Guerre, prolongez votre parcours dans les pas des soldats de la Première bataille de la Marne en 1914. En voiture ou à vélo, découvrez cette boucle touristique sur les traces de l’Histoire.
Passez là où ça s’est passé : la Grande Tombe à Chauconin-Neufmontiers, le monument « Notre Date de la Marne » à Barcy, la nécropole française et allemande à Chambry, la découverte de Meaux… !
Le plus ? Faites appel au chatbot Marion pour vous guider, un véritable GSP intéractif qui vous donnera des informations historiques sur les points d’arrêt et points d’intérêt de ce circuit.