Ce que me fait vivre ma belle-fille est… inimaginable.

Ce que me fait vivre ma belle-fille est… inimaginable.

inimaginable

J’ai la chance d’être Grand-Mère et c’est mon fils unique, Patrick, qui m’a fait cet immense cadeau.
Mais, bien que je sois très bien entourée, j’ai dû prendre beaucoup sur moi afin de pouvoir continuer à voir mes Petits-Enfants.

Tout à commencé il y a quelques années, lorsque ma belle fille Emma est tombée enceinte.
Celle qui s’apprêtait à devenir Maman pour la première fois s’est alors littéralement transformée.
Elle qui était si angélique est soudainement devenue diabolique. Inimaginable quand j’y repense.

C’est bien simple : on ne pouvait plus rien lui dire. Et, avec le temps, les choses se sont aggravées.
Je n’en veux pas énormément à mon fils, juste un peu. A mes yeux, il n’a simplement pas été à la hauteur, en refusant de prendre ma défense.

Sans doute a-t-il peur, tout simplement, des réactions de son épouse. Du coup, il fuit les conflits et se tait. Quant à moi, je n’ose rien dire non plus, sachant pertinemment que – si je fais le moindre commentaire – ma belle-fille me privera de mes Petits-Enfants. Et, ça, je ne l’envisage pas une seule seconde. Vous trouvez cela inimaginable…. Qu’auriez-vous fait à ma place ?

Je la laisse donc faire en espérant, qu’un jour, elle change d’état d’esprit. Peut-être finira-t-elle par ouvrir les yeux et que son attitude changera ; mais, pour le moment, elle continue sur ce mode-là. Il y a quelques jours seulement, elle m’a par exemple reproché le fait que les enfants revenaient soit disant trop fatigués d’un week-end chez nous. Je veille pourtant à ce qu’ils se couchent tôt et à ne pas les priver de sieste.

Je me dis que ces récriminations inimaginables sont profondément injustes, puisque c’est probablement l’école qui les fatigue. Tous les enfants ne sont-ils pas fatigués en fin d’année scolaire ?
J’en ai parlé à mon fils, lequel semblait injustement partager l’avis d’Emma. Parfois, je suis à deux doigts de leur dire quelque chose, mais je me reprends. Pour autant, je considère que le prix à payer est trop fort : impossible de soulager ma conscience de peur de devoir dire adieu à mes Petits-Enfants !

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