Joyeux anniversaire Francis Cabrel ! - Grand-Mercredi

Joyeux anniversaire Francis Cabrel !

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Joyeux anniversaire à Francis Cabrel. Un immense chanteur et inoubliable auteur-compositeur.
En cette journée hommage, célébrons ensemble sa carrière en revenant ensemble sur 3 titres phares… A transmettre à ses Petits-Enfants !

Petite Marie, Francis Cabrel, 1977
Pour visionner le clip vidéo, cliquez ici

Petite Marie, je parle de toi
Parce qu’avec ta petite voix
Tes petites manies, tu as versé sur ma vie
Des milliers de roses

Petite furie, je me bats pour toi
Pour que dans dix mille ans de ça
On se retrouve à l’abri, sous un ciel aussi joli
Que des milliers de roses

Je viens du ciel et les étoiles entre elles
Ne parlent que de toi
D’un musicien qui fait jouer ses mains
Sur un morceau de bois

De leur amour plus bleu que le ciel autour

Petite Marie, je t’attends transi
Sous une tuile de ton toit
Le vent de la nuit froide me renvoie la ballade

Que j’avais écrite pour toi

Petite furie, tu dis que la vie
C’est une bague à chaque doigt
Au soleil de Floride, moi mes poches sont vides

Et mes yeux pleurent de froid

Je viens du ciel et les étoiles entre elles
Ne parlent que de toi
D’un musicien qui fait jouer ses mains

Sur un morceau de bois
De leur amour plus bleu que le ciel autour

Dans la pénombre de ta rue
Petite Marie, m’entends-tu?

Je n’attends plus que toi pour partir
Dans la pénombre de ta rue
Petite Marie, m’entends-tu?
Je n’attends plus que toi pour partir

Je viens du ciel et les étoiles entre elles
Ne parlent que de toi
D’un musicien qui fait jouer ses mains
Sur un morceau de bois
De leur amour plus bleu que le ciel autour

Je l’aime à mourir, Francis Cabrel, 1979
Pour visionner le clip vidéo, cliquez ici

Moi je n’étais rien et voilà qu’aujourd’hui
Je suis le gardien du sommeil de ses nuits, je l’aime à mourir
Vous pouvez détruire tout ce qu’il vous plaira
Elle n’a qu’à ouvrir l’espace de ses bras pour tout reconstruire
Tout reconstruire, je l’aime à mourir

Elle a gommé les chiffres des horloges du quartier
Elle a fait de ma vie des cocottes en papier, des éclats de rire
Elle a bâti des ponts entre nous et le ciel
Et nous les traversons à chaque fois qu’elle ne veut pas dormir
Ne veut pas dormir, je l’aime à mourir

Elle a dû faire toutes les guerres
Pour être si forte aujourd’hui

Elle a dû faire toutes les guerres
De la vie, et l’amour aussi

Elle vit de son mieux son rêve d’opaline
Elle danse au milieu des forêts qu’elle dessine, je l’aime à mourir
Elle porte des rubans qu’elle laisse s’envoler
Elle me chante souvent que j’ai tort d’essayer de les retenir

De les retenir, je l’aime à mourir

Pour monter dans sa grotte cachée sous les toits
Je dois clouer des notes à mes sabots de bois, je l’aime à mourir
Je dois juste m’asseoir, je ne dois pas parler
Je ne dois rien vouloir, je dois juste essayer de lui appartenir
De lui appartenir, je l’aime à mourir

Elle a dû faire toutes les guerres
Pour être si forte aujourd’hui
Elle a dû faire toutes les guerres
De la vie
Et l’amour aussi

Moi je n’étais rien et voilà qu’aujourd’hui
Je suis le gardien du sommeil de ses nuits, je l’aime à mourir
Vous pouvez détruire tout ce qu’il vous plaira

Elle n’aura qu’à ouvrir l’espace de ses bras pour tout reconstruire
Pour tout reconstruire, je l’aime à mourir

Moi je n’étais rien et voilà qu’aujourd’hui
Je suis le gardien du sommeil de ses nuits, je l’aime à mourir
Vous pouvez détruire tout ce qu’il vous plaira
Elle n’aura qu’à ouvrir l’espace de ses bras pour tout reconstruire
Tout reconstruire, je l’aime à mourir

Je t’aimais, Je t’aime et je t’aimerai, Francis Cabrel, 1994
Pour visionner le clip vidéo, cliquez ici

Mon enfant, nue sur les galets
Le vent dans tes cheveux défaits
Comme un printemps sur mon trajet
Un diamant tombé d’un coffret
Seule la lumière pourrait
Défaire nos repères secrets
Où mes doigts pris sur tes poignets
Je t’aimais, je t’aime et je t’aimerai…
Quoi que tu fasses, l’amour est partout ou tu regardes
Dans les moindres recoins de l’espace
Dans les moindres rêves ou tu t’attardes
L’amour, comme s’il en pleuvait
Nu sur les galets…

Le ciel prétend qu’il te connait
Il est si beau c’est sûrement vrai.
Lui qui s’approche jamais
Je l’ai vu pris dans tes filets.
Le monde a tellement de regrets
Tellement de choses qu’on promet.
Une seule pour laquelle je suis fait
Je t’aimais, je t’aime et je t’aimerai…
Quoi que tu fasses, l’amour est partout ou tu regardes
Dans les moindres recoins de l’espace
Dans les moindres rêves ou tu t’attardes.
L’amour, comme s’il en pleuvait
Nu sur les galets…
On s’envolera du même quai

Les yeux dans les mêmes reflets
Pour cette vie et celle d’après
Tu seras mon unique projet.
Je m’en irai poser tes portraits
A tous les plafonds de tous les palais
Sur tous les murs que je trouverai
Et juste en-dessous j’écrirai
Que seule la lumière pourrait…
Et mes doigts pris sur tes poignets
Je t’aimais, je t’aime et je t’aimerai…

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