Fâchée avec ma fille, je ne voyais plus mes Petits-Enfants jusqu’au jour où…
avenir de ses petits-enfants

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Fâchée avec ma fille, je ne voyais plus mes Petits-Enfants jusqu’au jour où…

Il y a 6 mois environ, ma fille Valérie et mon gendre Patrick viennent diner à la maison. Jusqu’ici rien d’exceptionnel. Sauf que le diner ne se passe pas tout à fait comme prévu. J’ai encore du mal à vous expliquer ce qui s’est passé, mais à moment donné mon mari et Patrick ont failli en venir aux mains.  Une réflexion mal tournée de mon gendre, une réaction disproportionnée de mon mari et cela a suffit pour que le diner tourne court.

Sur le moment je ne me suis pas rendu compte des répercussions que cela aurait dans ma vie de tous les jours.

Il faut dire que je me suis toujours bien entendue avec ma fille unique et que mes deux Petits-Enfants sont ma priorité au quotidien. Je suis omniprésente, toujours prête à les garder.
Mais ça, c’était avant. Avant ce malheureux diner.

Car ma fille, sans doute sur les conseils de mon gendre, a fini par couper les ponts. Je ne pouvais plus leur parler, ni les voir. Paradoxalement, je continuais à voir ma fille, à qui j’en voulais, mais à qui je ne disais rien, car je savais pertinemment qu’elle ne faisait qu’écouter mon gendre.

Au début, j’ai pensé qu’elle changerait d’avis. Mais plus les mois passaient, plus je me rendais compte combien ma vie de retraitée sans mes Petits-Enfants était fade et n’avait plus de saveur…

Alors je me suis mise en quête d’une solution. J’ai fait des recherches et j’ai vite compris que nous aussi les Grands-Parents, nous avions des droits. J’ai longuement hésité comme beaucoup dans cette situation, j’avais peur « d’enclencher la machine judiciaire ». Mais c’était la seule solution pour revoir mes Petits-Enfants.

Et je ne regrette absolument pas.

Voyant des papiers administratifs arrivés chez eux au courrier, suivi d’une convocation, l’attitude de Valérie et surtout celle de mon gendre a changé. Alors certes, ils ne sont pas arrivés en courant à la maison pour s’excuser avec les Petits sous le bras comme je l’aurais inconsciemment pensé mais… Nous avons fait appel à un médiateur et nous avons fini pas trouver une solution.

Mon gendre comme souvent a pris en main les débats… Et, finalement nous avons convenu que Valérie me déposerait les deux petits le mercredi après-midi.  Ce fut un soulagement, et même mon mari qui jusqu’ici, était resté silencieux en culpabilisant, avait l’air délivré !

Ce n’est qu’une demi victoire pour moi la Grand-Mère qui jadis, avait la chance de voir ses Petits-Enfants quand elle le souhaitait. Je sais également que le chemin sera encore long, mais qu’une fois la confiance regagnée, je serai à nouveau la Grand-Mère omniprésente que j’ai été.

AU PROGRAMME :

Des astuces et conseils pour vos Petits-Enfants

Des idées d’activités pour toute la famille

Des dossiers pour vous aider à décoder le monde d’aujourd’hui

Et bien plus…

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