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Grand-Mère isolée ne voyant pas ses Petits-Enfants

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Témoignage glaçant d’une Grand-Mère… isolée

Une Grand-Mère nous a écrit sa détresse car elle ne voit plus ses Petites-Filles depuis de longs mois : elle se sent abandonnée, isolée. Son témoignage nous a bouleversé. Nous avons fait de notre mieux pour lui donner des pistes de réflexion et d’action pour appréhender au mieux cette douloureuse situation qu’elle n’est, malheureusement, pas la seule à vivre.

# Une Grand-Mère isolée, délaissée des siens, témoigne de sa détresse

Cher Grand-mercredi,

Quand je lis sur votre site internet les témoignages de Grands-Parents qui ont la chance d’être régulièrement entourés de leurs enfants et Petits-Enfants, croyez-moi sur parole, je ne m’y retrouve pas ! Mais alors pas du tout. Je ressens en moi une immense tristesse, mais aussi une sorte de jalousie et de la colère. Alors, certes, je vis un peu par procuration la vie de Grand-Mère que j’aurais tant aimé avoir, mais cela ne remplace en rien le vide que je vis au quotidien. Je suis une Grand-Mère complètement isolée, abandonnée.

J’ai trois Petites-Filles de 3 à 9 ans, et voilà une éternité que je ne les ai pas vues.

Entre le baptême de ma petite-fille Zoé le week-end dernier par 35 degrés à l’ombre (d’ailleurs suivez ici un petit mode d’emploi génial) et les préparatifs des fiançailles (bis) de ma fille Alice avec Bruno (futur nouveau gendre « officiel »), laissez-moi vous dire que j’ai eu tout le loisir d’observer ma famille à la loupe.

Tandis que tout ce petit monde savourait le plaisir d’être ensemble – et moi celui d’être avec eux – j’ai fait ma rebelle. Installée à l’ombre d’un catalpa, j’ai statué sur mon « cas ».
Celui d’une Grand-mère divorcée mais heureuse, à la tête d’une tribu cousue et redécousue par les ans et les aléas de la vie, goûtant la compagnie des pièces rapportées comme celle des « demi quelque chose », un peu perdue parfois entre les beaux-parents des uns et des autres…mais définitivement fière de sa famille.

Dans le lot, certes, j’en trouverai toujours un qui raconte systématiquement la même histoire drôle, une qui se trouve toujours une excuse au moment de débarrasser ou encore un qui ne donne jamais de nouvelles du bout du monde. Mais – car il y a un « mais » – je leur apprends, à tous, à se (et à me !) supporter.

Pour cela, j’avoue que j’ai trois armes secrètes :
1. Partir une fois par an tous ensemble pour un long week-end. Le truc incontournable dans l’agenda de chacun. Cette année, ce sera à la Pentecôte.

2. Glisser dans le sac de mes Petits-Enfants, selon leur âge : une planche de gommettes qui dit tout de la famille (votre libraire a bien en rayon des stickers de pandas petits/grands/moyens ou une armée de chevaliers autocollants tous différents), le fameux petit Dolto « La famille » (pour tout bien comprendre, à commander juste ici, ou encore pour la version « Famille recomposée ».
Pour les plus grands, je ne jure que par le livre ultra-efficace « Quart de frère, quart de soeur » (pour les plus grands, disponible juste ),  et « Je suis ton soleil », le best-seller pour ados qui en dit long sur la relation mère/fille, disponible ici.

Ça n’a l’air de rien, comme ça, mais je peux vous dire que ça fait son petit effet. Depuis, je n’ai plus jamais entendu quiconque dire du mal de sa famille !

 

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Christophe et Marina Ducharme sont grands-parents, alors croyez-nous, la vie de famille ils savent ce que c’est !

Le Sénechal est un hôtel familial situé en plein cœur du village d’Ars-en-Ré. Tout y a été fait et pensé avec goût et on s’y sent bien: un hôtel tout à fait charmant, dont on peut facilement tomber amoureux !
22 chambres en tout, avec des vues sur les toits du village, le clocher, la mer ou les champs.
Demandez une chambre communicante avec celle de vos petits-enfants, louez des vélos et hop, en avant pour des souvenirs en or.

Pour les familles nombreuses, il vous est possible de louer des maisons ou appartements à la semaine !

Hôtel Le Sénéchal
6, rue Gambetta – 17590- Ars-en-Ré

Infos et réservations ici http://www.hotel-le-senechal.com/
Ou envoyer un mail à Christophe et Marina : hotellesenechal@orange.fr

Age : petits-enfants à partir de 3 ans
Sécurité : basique
Baby sitter sur place ? : système de nounou à prévoir

 

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Depuis des années ou presque (en tout cas régulièrement), vous vous endormez le soir dans l’idée qu’une belle photo de vous avec vos enfants et vos petits-enfants, voire un impeccable cliché de votre garde rapprochée avec sourires et regards à l’unisson, ne doit exister que dans un monde parallèle. Grand-Mercredi a pénétré pour vous la 12ème dimension et vous jure la main sur l’obturateur qu’il est temps d’espérer votre photo. Celle de votre famille, pour vous ou ceux que vous aimez. Mon tour de France des meilleurs pros de l’objectif prêts à venir jusqu’à vous pour réaliser l’impossible se trouve ci-dessous.

Attention, le petit oiseau va sortir…

Paris
Olivier Boulet. En voici un qui en avait assez de ne jamais être sur les photos. Alors, il a pensé aux autres. Et décidé de redonner à la photo de famille un coup de pep’s, laissant l’originalité s’approcher de la tradition. Résultat décalé garanti, en adéquation avec la personnalité de chacun.
Site Internet : www.portraitdefamille.com
tél.: 06 52 44 35 92. A partir de 500€.

Andrane de Barry. Bookée des mois à l’avance pour les mariages les plus hype de l’Hexagone, cette jolie blonde est avant tout une spécialiste du portrait. Capter l’instant magique qui fera la différence une fois encadré, c’est son truc.
Site Internet : www.andrane-de-barry.com
Email: andrane@andrane-de-barry.com
Prix : 300€ la prise de vue « portrait de famille« 

Bonus
Et si vous souhaitez vous inspirer de poses originales, courez vite à l’Hôtel de Ville de Paris, sur les grilles duquel les photos de famille monumentales de Katya Legendre sont exposées à partir du 15 janvier, tout droit inspirées de passions aussi différentes que l’art, le cinéma ou…Alice au Pays des merveilles.

Lille
Capucine Lamoitte. Sur Instagram, ceux qui la suivent reconnaîtraient entre mille son oeil tendre et malicieux, qui se pose comme une plume sur les joues rebondies d’un bébé (Capucine travaille aussi pour la mode enfant) ou le sourire des amoureux. La candidate idéale pour faire cadeau à votre bru de la photo dont vous avez toujours rêvé !
Site Internet : http://studio4802.tumblr.com/
Email: capucine.lamoitte@neuf.fr
Prix : Compter environs 240€

Lyon
Queen Charlotte. « Kids », « Family », « A table »… Les rubriques de son site ne trompent pas : avec Loïs la franco-espagnole, les scènes de la vie de tous les jours sont reines. Du bouquet de pâquerettes au câlin volé, elle saura saisir l’incognito, et surtout sans que la famille ait besoin d’en faire des tonnes. Nous, on adore !
Site Internet : http://ilovequeencharlotte.com
Email : hello@ilovequeencharlotte.com
Prix : A partir de 350€ le shooting famille.

Marseille / Aix-en-Provence
Marie-Pacifique Zeltner. Mettez de côté votre hantise du contre-jour ou du manque de lumière : avec un aussi joli prénom, cette mère de deux enfants en fait son affaire. D’une fraîcheur acidulée, ses clichés ont leurs fans un peu partout dans le monde. Son talent est inné; son sens du détail aussi.
Site Internet : www.studiobibemus.com
Instagram : @surmacolline.
Prix : A partir de 80€ selon la prestation et la distance.

C’est un peu comme si Katy avait exaucé l’un de mes rêves les plus fous.
Pouvoir offrir des vacances géniales, belles et faciles à mes Petits-Enfants sans devoir louer une maison pour moi toute seule ou privatiser la moitié d’un hôtel pour ne surtout déranger personne. Ça vous parle, non ?

Grâce à cette blonde maman – elle aussi sur le point de devenir Grand-Mère pour la première fois (bienvenue au club, Katy !) -, il ne vous reste plus qu’à choisir entre une bastide provençale où jouer aux cartes à table n’est pas interdit, une villa romaine où tout est prévu pour que ce ne soit pas vous qui vous occupiez du barbecue géant, un ferme lombarde près de Milan où vous pourrez apprendre les secrets des pâtes et épater vos petits-enfants à la rentrée ou encore un mas espagnol avec 30 hectares de jardin.
Sur place : tout le matériel nécessaire de 0 à 15 ans, des « enchanteurs » pour occuper les journées des jeunes troupes, des chambres communicantes, des horaires de repas à rallonge, un « couple d’hôtes » pour organiser votre programme, et une « nounou » pour préparer en amont votre séjour. Le rêve, je vous dis !

Pour réserver votre prochain séjour en famille, c’est juste ICI.

 

 

PS/ Vous me croirez ou non mais j’ai découvert une maison d’édition qui a fait le pari insensé de lancer une collection de petits bouquins dont une Grand-Mère et ses petits-enfants sont les héros. Pour retrouver Mamie Polar, c’est juste là c’est juste là.

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On aura beau me conseiller tous les ouvrages du genre sur la zénitude enfantine, je ne jurerai jamais mieux que par mon truc à moi : la marche.

Maman, déjà, j’emmenais mes jeunes troupes avancer le nez au vent dans les bois. Ou, les soirs d’été, chasser le ver luisant sur les chemins de campagne qui fleuraient bon l’herbe coupée et la pierre tiède.

Aujourd’hui, avec mes petits-enfants, je perpétue cette habitude. Et vous garantis que la moindre balade les yeux levés vers le ciel plutôt que rivés sur un écran vaut de l’or. Au début, tout le monde traîne un peu des pieds. Puis, chacun profite du spectacle. Parle. Se confie. Boris sur ses questions existentielles d’ado « incompris »; Zoé sur ce qu’elle a appris à l’école; Adèle sur le métier de ses rêves.

Loin des trottinettes et des smartphones, ils réapprennent tous à marcher. Avec moi. Cette parenthèse m’offre ce privilège. Suivant les conseils de mon amie Sybille, j’ai même réussi à convertir Paul : au printemps, nous partirons tous les deux sur le Chemin de Compostelle. Que j’ai hâte….!

 

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Plus je vous lis, mieux je comprends. Je ne vais pas tourner autour du pot ni vous la faire à  l’envers: « l’autre » Grand-mère est, pour vous, un vrai sujet. Pas tabou (sinon vous n’en parleriez pas, ou si peu) ; juste un sujet. Une petite musique tantôt douce, tantôt exaspérante qui vous taquine nettement, a fortiori si entre Grand-mère paternelle et maternelle vous n’êtes pas les meilleures amies du monde.
Plongée dans le courrier des lectrices de Grand-Mercredi, j’y ai trouvé quelques témoignages, qui vous feront dire que vous n’êtes pas seule à  craindre ou envier la maman de votre belle-fille ou gendre ou, au contraire, à  avoir trouvé en elle votre double, comme une soeur. Dans tous les cas, vous faites au mieux pour vos Petits-Enfants et avoir la une belle relation avec eux !

Mon conseil : certes, vous n’avez pas le même ADN. Et si tout vous sépare, n’oubliez jamais que vos Petits-Enfants sont un lien indéfectible, et que vous êtes toutes les deux Grand-mères. Autrement dit, vous avez un rôle clé au sein de votre famille, et dans la vie de vos Petits-Enfants. Et puis d’abord avez-vous au moins vérifié que cette autre Grand-mère était inscrite à Grand-Mercredi ?
Bonne lecture à  toutes !

Être Grand-Mère à distance

« J’habite à  800 kilomètres de Paris et suis devenue Grand-mère sur le tard (à  65 ans). Lorsque mon premier petit-fils est né, j’ai eu peur de moins le voir que la Grand-mère maternelle, qui vit près d’eux. Elle le gardait le soir, le promenait, le gâtait, l’emmenait même chez le médecin. Elle était toujours à la maison. Pour faire « aussi bien » qu’elle, je multipliais les aller-retours en train, parfois même pour 48h à  peine. J’ai vite compris que ça n’apporterait rien et, aujourd’hui, je m’arrange avec ses parents pour garder mon petit-fils sur de plus longues périodes. Seule, et chez moi et c’est aussi bien pour créer un lien spécial entre l’enfant et moi ».
Eliane (Cannes).

À chaque Grand-mère ses méthodes éducatives

« Nous avons beaucoup d’affection pour le mari de notre fille et notre bonheur aujourd’hui est d’être les Grands-Parents de trois magnifiques Petits-Enfants. En revanche, leur Grand-Mère paternelle dit « oui » à  tout, cède au moindre caprice et fait d’eux le centre du monde. J’ai essayé d’en parler à  ma fille mais elle pense que j’exagère. Du coup, je continue à  suivre les mêmes principes éducatifs que ceux que nous avons utilisés pour nos propres enfants. Même si j’ai le sentiment que, derrière, « l’autre » Grand-mère sabote tout ».
Marie-France (Lille).

Les Grands-mères différentes sont encore plus fortes !

« Françoise et moi étions le jour et la nuit. Lorsque nos enfants se sont mariés, elle plaidait pour une cérémonie à  la campagne; moi au bord de la mer. Je disais blanc, elle disait noir. Elle ne jurait que par les mondanités; je préférais l’intimité familiale. Je me disais que la vie de famille n’allait pas être simple ! La naissance de nos Petits-Enfants (des jumeaux) a tout changé. Sur le terrain de l’affection et de la générosité, c’est comme si nous nous étions retrouvées. Nous partons même en vacances ensemble et les Grands-pères s’adorent ! Nous sommes des Grand-mères amies, comblées et complètement gaga de nos Petits-Enfants. Nous avons créé une grande famille !».
Sybille (Paris).

Savoir composer pour les parents des Petits-Enfants

« Je suis la première à  le regretter mais, il y a un an, de trop grandes dissensions avec la mère de mon gendre ont donné lieu à  une fâcherie qui n’est toujours pas résolue. Parce que nous avons la chance d’être à  l’aise financièrement, nous pouvons offrir chaque année un grand voyage au soleil à  nos enfants et Petits-Enfants réunis. Ce moment en famille, c’est notre plaisir. Pour pouvoir nous accompagner pas facile de s’organiser quand on est 17 , ma fille et son mari avaient dû décaler leur séjour chez les autres Grands-Parents. Ceux-ci l’ont mal pris, jusqu’à  nous dire que l’on « achetait » l’amour des enfants, comme des parents. Je n’ai pas compris et ne comprends toujours pas. Depuis, je l’évite soigneusement, en attendant des excuses qui ne viendront peut-être jamais. C’est surtout dommage pour les Petits-Enfants».
Elisabeth (Paris).

À chaque Grand-mère son rythme !

« Comme j’étais encore dans la vie active lorsque je suis devenue Grand-mère, et que l’autre Grand-mère était déjà  retraitée avec d’autres Petits-Enfants, il a fallu que je m’adapte. Elle avait le temps et l’expérience; pas moi. Sans doute en voulant m’aider, elle s’est mise à  m’appeler pour me donner des conseils quand j’avais la joie de jouer la baby-sitter le week-end, m’indiquer des squares  où aller balader ma seule petite-fille. Puis, elle a fait pareil lorsque le petit-frère est né. Son côté « donneuse de leçons » m’agaçait de plus en plus. Il a suffi que j’en parle au père,  mon fils pour que tout s’arrête. Morale de l’histoire : je reste persuadée que les Grand-mères maternelles et paternelles sont complémentaires. Chacune a un rôle et fait à  sa façon et le principal est que les Petits-Enfants soient heureux avec elles ».
Nadine (Le Blanc-Mesnil).

Si vous voulez en lire plus, « Le livre des grand-mères géniales : Pour être celle que les enfants préfèrent !» est une référence en la matière. Tout un chapitre est consacré à  « l’autre Grand-Mère » et à son rôle. Qui sait, vous y trouverez peut-être des solutions pour améliorer vos rapports et créer un vrai lien, pour le bonheur de vos Petits-Enfants ?
Encore un livre indispensable et jubilatoire en hommage à  toutes les supers mères et Grand-Mères que vous êtes.

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Je ne crois pas vous en avoir souvent parlé… Mais ma mère, c’est un peu un cas à part. Madeleine, de son prénom, a – depuis toujours – ce je-ne-sais-quoi d’ultra-conventionnel qui donne tout son sens à l’expression « être à cheval sur ».

Autant dire que la cousinade annuelle est, pour elle, le temps fort de ce conformisme. N’allez pas croire que c’est elle qui l’organise (quoique, elle en serait bien capable). Non. Cette année, c’est à moi qu’incombe cette périlleuse mission.

Je dis « périlleuse » car j’ai toujours fait des yeux ronds comme des soucoupes en écoutant mes amies me conter par le menu leurs raouts annuels en famille, au décor de manoir berrichon ou de métairie normande. Cette fois, ce sera sur mes terres. Dans ma maison au bord de la mer.
Mais j’ai prévenu : qu’on n’attende pas de moi la pyramide de macarons pour 130 et les parties de colin-maillard par équipe. Quitte à rentrer dans le moule, la meilleure chose que je puisse encore faire serait d’offrir aux invités un arbre généalogique personnalisable, gai et sympa à faire.

Depuis que j’ai demandé à Grand-Mercredi de m’aider à faire le mien pour y caser toute ma tribu, j’y vois plus clair. Et je me dis qu’entre racines et branches, j’ai vraiment de la chance !

 

PS / Parce que chaque famille est différente, Grand-Mercredi vous propose désormais l’Arbre Généalogique 100% personnalisable ! Ils sont décidément très fort….
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Les petits-enfants de Rao Pingru, un grand-père né en Chine dans les années 20, ont reçu un cadeau inouï : un lot d’histoires du soir garanti à vie. Comme nous le raconte « Le Monde des Livres » du 27 janvier, le nonagénaire avait entrepris – à la mort de sa compagne il y a presque dix ans – d’écrire le récit de soixante ans de vie commune.

Petit à petit, le grand-père s’est consolé en écrivant, mais aussi en dessinant : son enfance, sa rencontre avec Meitang (future mère et grand-mère), leur mariage… « Je l’ai fait pour mes petits-enfants. Ce qui est le plus précieux et le plus important, ce ne sont pas les richesses dont ils peuvent hériter, mais le témoignage que je peux leur laisser. Je ne pouvais pas raconter à chacun l’histoire de la famille, c’était plus simple d’écrire et de dessiner. Les jeunes d’aujourd’hui n’ont pas forcément le temps de lire, c’est pour ça que j’ai également utilisé l’image »…, raconte-t-il au Monde.

Ces vingt cahiers sont depuis devenus un vrai livre. Il raconte le destin d’un « couple ordinaire, qui a traversé un XXe siècle extraordinaire ». Et on peut tous le lire et le regarder, même avec ses petits-enfants.

Notre Histoire. Pingru et Meitang (Seuil). A commander chez votre libraire ou juste ici

Pingru-Meitang livre

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Une Grand-Mère est une Grand-Mère, point. Sachez-le : avant 4 ou 5 ans, c’est un peu de cette façon que vos petits-enfants vous voient. D’où leur difficulté à vous imaginer sur un tricycle ou sur les bancs de l’école, alors même que vous aussi êtes passée par là.

Pourtant, comme l’explique un article de La Croix paru le 13 janvier 2017, l’atténuation progressive de cet étonnement « exprime la prise de conscience de l’enfant face au temps qui passe. C’est pour lui une découverte vertigineuse. L’enfant pressent que lui, grandissant, ses aïeuls vont aussi grandir à leur façon c’est-à-dire vieillir et… mourir. Et derrière cette constatation, la terrifiante révélation que lui aussi va grandir, vieillir et mourir un jour ».

Le bon point, c’est que votre petite-fille ou votre petit-fils intègre enfin qu’avant lui…il y a eu vous. Et donc ses parents. « Il comprend ainsi qu’il n’est pas là tout à fait par hasard, et qu’il est le fruit d’une lignée familiale », précise l’article.

D’où l’intérêt – mais vous le saviez déjà ! – de la transmission. Et l’importance fondamentale de tisser avec votre descendance « de précieux liens en lui racontant l’histoire de sa famille ».

On s’est gardé le mot de la fin : raconter et se raconter un peu, c’est grandir beaucoup.

 

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Du syndrome de la « super Grand-Mère » aux privilèges de la relation Grand-Mère/Petits-Enfants. La psychothérapeute Evelyne Féau et le Docteur Frédéric Kochman, pédopsychiatre et coordinateur médical de la Clinique Lautréamont à Loos (Nord), répondent à nos 5 questions sur le rôle que vous avez à jouer en tant que Grand-Mère. 

 

1. Être Grand-Mère, est-ce que cela s’apprend ?

Dr Frédéric Kochman : Etre Grand-Mère, comme être mère, ne s’apprend pas dans les livres, mais dans nos expériences de vie personnelles, transgénérationnelles. Beaucoup de Grand-Mères m’évoquent leur statut de Grand-Mère en le comparant à leur statut de mère : nettement plus apaisé, décomplexé, plus cool quoi !

Evelyne Féau : C’est en effet un apprentissage. On devient Grand-Mère en même temps que l’enfant devient Petit-Enfant. Mais si la Grand-Mère retrouve les mêmes gestes que ceux qu’elle avait en tant que mère, elle ne vit pas sa relation avec ses Petits-Enfants de la même façon, profitant d’une plus grande disponibilité. Moi-même, jamais je ne me serais dit – avant de devenir Grand-Mère – combien j’étais à ce point passée à côté de certains moments avec mes propres enfants. Grâce à leurs Petits-Enfants, auxquels elles sont entièrement dédiées, les femmes se découvrent autrement, sous une autre facette. Et malgré le stress et la responsabilité dont elles se sentent investies lorsqu’elles s’en occupent, cela reste un émerveillement.

2. La Grand-Mère, bien qu’elle s’en défende parfois, a-t-elle un rôle éducatif à jouer envers ses petits-enfants ?

E.F. : Si l’on veut pouvoir continuer à faire sereinement des choses avec eux, il faut se sentir respectée. Alors, évidemment, si les Petits-Enfants font des bêtises, mieux vaut sévir et couper court à l’accumulation des caprices. En revanche, en présence des parents, il est important de savoir s’effacer. Et si un parent refuse telle chose à son enfant, il ne s’agit pas d’aller ensuite à l’encontre de cette décision.

Dr F.K. : Le rôle éducatif de la Grand-Mère est majeur. Beaucoup de Grand-Mères de notre génération sont jeunes, modernes, bien souvent pleinement insérées dans une vie active, et ainsi très au fait des passions, des émotions, des centres d’intérêts de leurs Petits-Enfants. De ce fait, la Grand-Mère d’aujourd’hui peut bien souvent jouer le rôle de confidente de ses Petits-Enfants, donner des conseils avisés, avec plus de temps pour écouter et réfléchir avec eux. En cela, cela participe grandement à leur éducation.

Mais il est aussi important pour les parents d’adouber les Grands-Parents dans leur rôle de sécurité, d’autorité et de participation à l’éducation, lorsqu’ils ont la garde – même très temporaire (une soirée, un week-end….) – de leurs Petits-Enfants. En d’autres termes, cela signifie : « Mes chéris, nous vous confions ce soir à vos Grands-Parents ; nous leur déléguons pour ce temps notre autorité. En notre absence, ce sont eux les capitaines du bateau ».

3. La notion de transmission est fréquemment mise en avant dans le rapport intergénérationnel. Où commence et où finit-elle ? Quel rôle la Grand-Mère peut-elle jouer en matière de transmission ?

Dr F.K. : La transmission touche avant tout les valeurs, l’histoire d’une famille. Elle inclut les traditions parfois régionales, parfois internationales. Pour ma part, je suis un pédopsychiatre d’origine polonaise. Je continue à vivre avec plaisir et nostalgie les traditions culinaires polonaises des fêtes de Noël, par exemple. Nous savons aujourd’hui que cette transmission est inscrite dans les gènes, dans l’ADN de nos Petits-Enfants : c’est ce qu’on nomme l’épigénétique. L’ADN de nos enfants et Petits-Enfants a en mémoire des événements marquants de la vie de leurs ascendants.

# Transmettre l’histoire familiale : voilà un rôle pour la Grand-Mère

« Faire découvrir comme dans une saga l’histoire de la famille, parfois sur plusieurs générations, inscrit les Petits-Enfants dans une structuration solide de leur vie, dans le temps et l’espace. Un très beau projet à construire avec les Grands-Parents : un arbre généalogique géant de toute la famille ! »

# Raconter des anecdotes, des souvenirs amusants : autre rôle sympathique pour la Grand-Mère

E.F. : Personnellement, je préfère leur raconter des anecdotes ou leur parler de détails amusants. Une chose est sûre : avec des mots choisis, on peut tout dire à un enfant. Et s’il pose des questions, vous n’avez pas à fuir. Car il va se rassurer grâce à ce que vous lui direz ; sinon, c’est son imagination qui prendra le pas, et celle-ci est bien plus angoissante que la réalité.

4. Dans quelle mesure la relation qu’un enfant entretient avec sa Grand-Mère est-elle complémentaire de ce qui l’unit à ses parents ?

E.F. : L’un des rôles principaux de la Grand-Mère est de faire avec ses Petits-Enfants ce que les parents ne leur font pas faire, faute de temps. Ces moments de partage requièrent une certaine organisation ; des efforts auxquels les Petits-Enfants sont sensibles.

Dr F.K.: Dans de nombreux cas, les liens avec ses parents sont marqués par le stress, le manque de temps, la pression des jours de semaine, les devoirs, etc. En revanche, un week-end avec sa Grand-Mère va se visualiser souvent de manière plus positive : en mode « pause », au calme, comme l’évoquent les jeunes sur leurs réseaux sociaux (« oklm… », écrivent-ils en langage SMS).

La Grand-Mère, on l’imagine d’emblée plus sereine, souriante, avec le plaisir d’aimer ses Petits-Enfants sans la pression de l’éducation quotidienne, de la réussite scolaire. La Grand-Mère peut donc renforcer; amplifier ces moments forts et pleins d’amour par des moments passés ensemble, au cours desquels on a le temps de s’aimer, de rire, de réfléchir au présent, à l’avenir, en toute quiétude et douceur.

5. Que diriez-vous aux Grand-Mères qui mettent un point d’honneur à assumer seules la garde de leurs Petits-Enfants ? En particulier quand elle le font sans aide extérieure (de type nounou ou jeune fille) et sur des périodes plus ou moins longues (week-end, vacances…) ?

E.F. : Les Grand-Mères qui cherchent à tout contrôler espèrent une sorte de reconnaissance de leur rôle de « super Grand-Mère ». Personne ne doute qu’elles en soient capables, mais il est tout aussi important de connaître ses limites. Alors je leur dirais simplement : « Ce n’est pas parce qu’on vous prête main-forte que l’on vous considère comme une mauvaise Grand-Mère ».

Dr F.K. : De mon point de vue, cela est très positif ! Assumer la garde de leurs Petits-Enfants est une évidence pour beaucoup de jeunes Grand-Mères de 45 ans, qui font dix ans de moins que leur âge, en plein équilibre de vie, sportives, battantes. Elles sont de superbes modèles de vie pour leurs Petits-Enfants. J’ai très souvent entendu dans mon cabinet des jeunes patients me dire : « J’espère que je serai comme ma Grand-Mère à son âge ! ». C’est le plus beau compliment que l’on puisse leur faire !

 

Résumé des différents rôles pour une Grand-Mère évoqués dans cette interview :

  • S’investir pleinement avec ses Petits-Enfants
  • Savoir s’effacer en présence des parents
  • Rôle éducatif majeur délégué par les parents
  • Etre une confidente, pourvoyeuse de bons conseils
  • Transmettre l’histoire familiale
  • Apporter des espaces de tranquillité dans la vie trépidante des Petits-Enfants (et de leurs parents)
  • Faire avec les Petits-Enfants ce que les parents ne font pas, souvent faute de temps
  • Garder ses Petits-Enfants, s’en occuper le temps d’un week-end, de périodes de vacances, etc.

Et pour approfondir sur ce sujet des rôles des Grands-Parents, voici un peu de lecture sur le rôle du Grand-Père ou encore une enquête à ce sujet.

Olivier a toujours été d’une fidélité sans borne avec sa marraine adorée, j’ai nommé: moi.
Un SMS pour mon anniversaire, une carte de voeux à Noël, quelques dépannages informatiques et une navette maison/aéroport deux ou trois fois l’an: y’a pas à dire, ça crée des liens. Cet été, mon filleul n’est pas venu seul. Il a « un truc à {me} demander ».
A défaut de conquête, donc, une requête: ses 40 ans approchant, Olivier aimerait savoir si mon humble demeure pourrait éventuellement servir de décor à « une petite fête entre amis ». Comprendre : bamboula d’anthologie entre quadras désinhibés. Le tout « si ça ne {me} dérange pas, bien sûr ».
En échange, il promet de tailler mes lauriers, de tondre le carré de pelouse qui me sert de jardin, de me faire faire le tour des brocantes avec kilométrage illimité et de raccompagner ma mère à la gare. Un marché plutôt honnête, à mon sens. Reste à savoir si je suis fin prête à faire mes adieux à mon canapé en lin immaculé et à mes photophores géants…
C’est bien là tout le problème quand, depuis des années et par  crainte de s’y sentir trop seule, vous répétez à tout le monde que « la maison est grande ouverte »…!
On a beau parler de lui chaque été depuis trente ans, personne ne sait vraiment qui est Hippolyte. Je tenterai, dans ma prochaine lettre, d’élucider une partie du mystère…! 

 

Bouton inscription lettre de Grand-Mercredi

 

L’un de mes plaisirs favoris dans la vie étant d’avoir tous mes petits-enfants réunis, les plus jeunes de la famille ont récemment été rejoints par Adèle et Boris, dits « les deux grands ».

Venus seuls en  train (« On n’est plus des bébés ! »), ces deux ados de 12 et 13 ans ont poussé comme des asperges mais restent pour moi – même s’ils détestent quand je dis ça – « mes petits chéris ».
Bien qu’ayant la majeure partie du temps un casque ou des écouteurs vissés sur les oreilles, de préférence au moment où je bats le rappel pour débarrasser, ils aiment autant écarter leurs petits cousins de leurs conciliabules que les inclure dans leurs jeux… parfois idiots.

En pâmoison devant ses aînés, Chloé (5 ans) a ainsi relevé le défi du « T’es pas cap’ de manger du sable !», tandis qu’une partie de cache-cache ayant mal tourné m’a finalement permis de dénicher Auguste (1 an et demi) enfoui sous les gilets de sauvetage du club de voile.
Je passe bien évidemment sur le lancer de gnocchi à l’heure du déjeuner et sur le conglomérat de serviettes et de maillots mouillés qui orne la terrasse chaque fin d’après-midi.

On ne m’en voudra donc pas de dire que ma journée de vacances ne débute vraiment qu’à l’heure où tout le monde dort.

Maintenant qu’on se connaît un peu, je me sens libre de vous le dire : je suis une « chicouf »: « CHIC, ils arrivent ! OUF, ils sont partis ». Et ne me dîtes pas que cette pensée ne vous a jamais traversé l’esprit !

Trop c’est trop: j’ai demandé du renfort ! Une baby-sitter est attendue mardi en urgence !

Bouton inscription lettre de Grand-Mercredi

 

Quasiment deux mois de vacances, une maison au bord de la mer et un défilé incessant d’invités en tous genres : pas de doute, mon été peut commencer !

Je me suis dit, surtout, que l’occasion était toute trouvée pour vous en dire plus sur celles et ceux qui m’entourent quand le soleil revient : de ma meilleure amie à la baby-sitter, en passant par mon petit-fils encore bébé et ma propre maman. Je vous promets un vrai carnaval, une galerie de portraits mémorable…sans doute assez proche de celle qui vous donne le sourire chaque année !

Chaque mardi et chaque vendredi jusqu’à fin août, l’un de ces douze personnages fera donc son entrée dans votre boîte mail. Une carte postale généalogique à laquelle je joindrai un « petit extra » tout-terrain, une activité toute simple et gratuite mais qui rend les journées d’été « extra-ordinaires ». Pour être la seule Grand-Mère de France à faire admirer à vos petits-enfants le plus joli spectacle d’étoiles filantes de la saison, ne passez donc pas à côté de ces bonus géniaux !

Et puisque, mine de rien, l’été est aussi fait pour se faire plaisir, ouvrez l’oeil ! Car pour rendre vos vacances encore plus fabuleuses, j’ai traqué tout le printemps 12 cadeaux absolument magiques. Quelque chose me dit que, dès mardi, vous n’aurez rien contre LE jeu qui occupera les petits une journée entière ou encore LA recette idéale pour chasser le blues de papa/maman.

Allez hop ! Je vous laisse ranger vos plaids en laine et dégainer vos foutas, ouvrir vos valises et vérifier que les transats sont d’attaque. Moi, j’ai cinq lits à faire et un frigo à remplir !

 

La vaisselle en carton my Little Day

Bouton inscription lettre de Grand-Mercredi

 

Quand on est enfant, il est important de grimper dans son arbre généalogique et d’y faire son nid. Mine de rien, quand on connaît bien les racines de sa famille, on s’y retrouve mieux.
Un ouvrage pédagogique, pour permettre aux plus jeunes de comprendre les liens entre chaque membre de l’arbre généalogique.

Plus la peine de chercher ! Après des semaines d’une quête éperdue, on a trouvé un must de la généalogie. C’est écrit dessus: L’ORIGINE DU MOI. Car avant lui (votre petite-fille, votre petit-fils), il y a eu 1) ses parents, 2) vous, 3) vos propres parents… Un phénomène d’une logique implacable pour les adultes, mais qui échappe parfois aux plus jeunes…surtout dans les familles nombreuses !

Fabriqué en cartons recyclés « sous le soleil de Barcelone », dans des couleurs pop et acidulées, l’arbre généalogique de Papier Tigre accueille dans ses pastilles les photos de celles et ceux qui comptent ou ont compté. Ceux qui ont fait que l’enfant est là aujourd’hui. Et si ce n’est pas vous qui complétez patiemment à quatre mains ce cadeau qui dure pour toujours, si avec dextérité vous ne l’aidez pas à glisser le bon visage dans la bonne case, alors qui d’autre le fera ? A suspendre au mur du salon ou d’une chambre, au bout d’une fine cordelette japonaise, et à leur offrir en cliquant ici.

« Chandail » est devenu « gilet », les biberons se stérilisent et les compotes se boivent en gourde. Vos filles, vos belles-filles, vos fils et vos gendres parfois, ne manquent jamais de vous le rappeler: les temps changent ! Oui, mais tout s’explique. Et si jamais vous vous retrouvez dans ces quelques lignes, faîtes un clin d’œil à vos amies !

1) Avant, on couchait bébé sur le ventre. Aujourd’hui, on le couche à plat dos.
On a décodé pour vous les 3 raisons de ce changement.
– Dans ce sens-là, bébé peut sourire aux anges. Dans l’autre, c’est déjà plus compliqué.
– Vous avez remarqué ? Endormi dans vos bras, le bébé ne se réveille pas lorsque vous le déposez dans son lit…à plat dos, donc !
– Puisqu’on vous dit que c’est « à plat dos », suivre le mouvement est encore le meilleur moyen d’éviter tout débat au-dessus du berceau.

2) Avant, c’était robe de chambre après le bain. Aujourd’hui, tout le monde enfile un poncho.
– La robe de chambre, même à scratches, c’est limite un concours de contorsions. Surtout quand on a 5 petits-enfants de 1 à 6 ans et la purée maison à mouliner.
– Le poncho s’enfile d’un coup, « tout seul comme un grand ».
– Dénicher en boutique une robe de chambre à carreaux qui ne soit ni fluo, ni flanquée d’un super-héros, ni en éponge double-fil, c’est comme vouloir faire la cueillette des champignons en janvier : impossible.

Partie03

3) Avant, on se ruinait pour un landau rétro façon Kate & William. Aujourd’hui, c’est à celui qui aura la poussette la plus compacte et aérodynamique.
– Les trottoirs ont pris 4 bons centimètres en 40 ans, mais pas forcément les portes des magasins.
– Le landau d’autrefois remporte rarement l’épreuve dite « du bagage à main ».
– Quand on a 7 minutes chrono pour aller de la maison à la crèche, de la crèche chez le boulanger et du boulanger chez sa grand-mère, on roule plus vite avec un bolide 3 roues qu’avec un tank de 5 kilos.

Partie04

4) Avant, on remerciait sa grand-mère avec une lettre longue comme le bras. Aujourd’hui, un SMS de lilliputien et c’est le Pérou.
– Le carnet d’adresses près du téléphone n’est plus. Le téléphone SERT de carnet d’adresses.
– Le temps de trouver du papier, un stylo plume, une cartouche neuve, l’inspiration, une enveloppe blanche, l’adresse (cf. raison précédente), un timbre, puis une boîte postale…et c’est déjà l’heure des prochaines vacances.
– Vos petits-enfants sont joueurs et vous mettent au défi de déchiffrer : « Bjr GM. jSpR ktuva bi1. CT top ché toi. Merci bcp. Jtm ».

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