Tricoter pour la naissance d'un petit-enfant - Grand-Mercredi

Mais pourquoi tant de laine ?

Tricoter pour la naissance d'un petit-enfant

On vous a forcément déjà fait le coup. Un bébé qui s’annonce – que dis-je, une petite graine – et, déjà, on vous voudrait en grand-mère iconique, à califourchon sur une montagne de mohair, prête à en découdre avec le point de riz et la maille rivière. Certaines d’entre vous ne disent pas non et exultent même à l’idée d’extirper de leurs tiroirs des patrons pour brassière taille 1 mois et autres béguins pour lilliputiens frileux. C’est bien. Après tout, cela donne l’occasion de se concentrer sur son futur rôle d’aïeule et les joies infinies qu’il procure (aussi infinies que peut l’être la confection d’une combinaison sans manches pour bébé, d’ailleurs).

D’autres, en revanche, sollicitées à l’envie par telle bru tendance vintage ou jeune mère en devenir, prennent leurs aiguilles à leur cou sitôt prononcé le mot « tricot ». La simple idée de devoir frayer un chemin à une minuscule boutonnière dans cet enchevêtrement de laine vous met les nerfs en pelote. On peut le comprendre et, du même coup, cautionner l’achat à prix d’or d’une couverture en cachemire 40×40 « déjà toute faite » lors de la naissance du divin enfant.

Cela étant – et afin que chacune d’entre vous puisse dormir sur ses deux rangs – laissez-moi vous dire une chose : tricotée main ou emballée par une vendeuse, la layette de votre petit(e) chéri(e) tiendra forcément chaud. C’est en effet la vertu n°1 du 100% amour.

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